La Genèse de Patati :
Par delà les textes bibliques de la Saint inquisition dignes du «Malleus Maleficarum», les scribes caennais se sont acharnés à traduire depuis des lustres les saintes évangiles patatapantesques (dont la Genèse), genèse qui n'a pourtant rien à voir avec le premier livre du Pentateuque. Ces textes se sont perdus dans l'obscurantisme médiéval, jalousement gardés dans la bibliothèque de l'abbaye bénédictine située dans les limbes alpines, entre les régions de la Provence et la Ligurie à la frontière franco-italienne – tout comme le 4iéme tome d'Aristote sur la comédie – et miraculeusement sauvés des flammes par frère Guillaume de Baskerville en cette année de grâce et de disgrâce 1327 – tout comme d'ailleurs l'ensorceleuse (selon Bernardo Gui) d'Arso de Melk fut également sauvée.
Rappelez-vous au nom de la rose si vous avez des doutes.
Deux évangiles sont à votre disposition d'un simple clic: celle de Saint Benoît (1975-) et celle de Sainte Carmelita (inconnue-) je l'espère pour bientôt.
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La richesse des oeuvres laissées par Saint Benoît nous gratifient également d'un document sonore (en version originale donc romaine) que vous aurez à loisir le plaisir d'écouter en allant sur le lien « all anima de li mejo mortacci vostri » ainsi que d'y découvrir sa signification.